Ce lundi 15 février vers 15 heures alors qu’il pleuvait , je consultait ma boite de réception comme d’habitude. Mais un bruit fort s’abattait sur le vitre de ma chambre. Quelle surprise un malaise se transforme en joie ! c’est la grêle. Ce phénomène ne passe pas inaperçu , tout le monde est content, on prend des photos le paysage blanc suscite un confort spirituel.
Le Maroc encore une fois cette année subit les conséquences du changement climatique: la pluie s’est fait beaucoup attendre, si en Europe l’hiver est tiède, chez-nous c est la chaleur qui s’est installée menaçant la saison agricole d’une sécheresse qui dérange qui perturbe le budget du Fellah livré à lui même.
L’hiver nous a manqué, on a envie de voir les parapluie, la neige au sommet des montagne, la verdure qui couvrait les champs et les espaces. l’homme est dans l’obligation de protéger l’environnent pour préserver sa santé et son bien être, les quatre saisons de l’année nous appartiennent et c’est à nous de contribuer à les garder à l’égard de l’équilibre de la nature. la grêle qui est tombée sur Souk El Arbaa en la voyant, la touchant ce sont des perles de la nature que je découvre encore un fois.